En soirée j'arrive jamais à me décider à partir et puis d'un seul coup je me lève et hop ! Je pars comme un voleur. Là c'est pareil, j'attends, j'attends et hop ! là, c'est le moment !... Je quitte Istanbul ! Ne me demandez pas pourquoi maintenant, j'en sais rien ! euh... si en fait : en ville je dépense trop, les odeurs de narguilé me donnent la nausée et surtout j'en ai ma claque de manger des kebabs...
Par contre je ne sais pas combien de temps je vais mettre pour en sortir...Imaginez un japonais à vélo dans Paris, Place Saint Michel, ne parlant pas un mot de français et désirant se rendre en Allemagne... Et ben vous remplacez le japonais par Greg, Paris par Istanbul et l'Allemagne par la Bulgarie et vous vous ferez une petite idée de ce qui m'attend...
Salut Greg.
RépondreSupprimerQuoi ? Tu pars un soir ?
Ou tu as décidé ce soir que tu partais demain matin, ce que je préfèreraiss, vois-tu !
Tu sais bien, le gîte, cette sacrée recherche du gîte.
Non, je n'y crois pas, tu ne pars pas ce soir
Je suis absolument ravi que tu aies réussi la première partie de ton périple, une bien belle victoire.
De chez toi à Istanbul en vélo, c'est un exploit que peu parviennent à accomplir, et tu vois, ça t'aidera toujours dans ta vie, d'avoir réussi ça.
portes toi bien, fais gaffe et
Bonne route !
Merci pour prendre le temps de faire le blog !
Félicitations pour la première partie de ton périple. En voyant tes messages, je me dis "déjà" à Istanbul (c'est d'ailleurs ce que m'ont dit mes élèves lorsque je leur ai annoncé où tu en étais). Te dis-tu la même chose ou au contraire "enfin" ?
RépondreSupprimerJ'espère que tu ne vas pas trop souffrir de la chaleur de l'été continental (chaleur qui est loin d'être notre lot actuellement !).
Bonne poursuite de route.
Agnès
Alors, t'es où là? Toujours à chercher la sortie d'Istanbul après 4 jours??
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